• CHAPITRE 2:

     

    Ilona soupirait tandis que des domestiques lui faisait essayer des robes pour le bal de ce soir.

    Cela faisait au moins la douzième robes qu'elle essayait, et en réalité, ce n'était pas pour choisir une robe qui pouvait lui plaire, mais plutôt qui pourrait plaire à sa mère. Celle-ci observé d'ailleurs les essayages avec une grande précision.

    -Ah ma chérie. Ainsi tu es superbe! Ilona haussa les sourcils, septique face au miroir qui reflétait son allure. 

    -En même temps cela ne peut que vous plaire, puisque c'est l'une de vos robes ma mère. Ajouta t-elle, l'air lui manquant car le corset la serré beaucoup trop, qui plus-est la robe était d'un rouge vive avec un immense décolleté plongeant qui la faisait ce sentir horriblement nue.

    -Ainsi ce soir tu pourras trouver un bellâtre convenable, bien mieux que ce monsieur Mantoue! Ah je savais, non je sentais que cet homme n'était pas à prendre avec des pincettes! Et puis bon 30 ans, peut-ont trouver plus jeune? Sa conversation sur les peintres était des plus horripilante! Non, le mieux c'est de trouver un homme banale mais fortuné, il y a moins de risque de cette manière! N'es-ce-pas chérie? 

    -Et pourquoi pas déjà quelqu'un de mon âge mère? Demanda Ilona, sachant que la question semblerait ridicule à sa mère, qui ria d'ailleurs à gorge déployé.

    -Enfin mon cœur! A 16 ans un homme n'as pas encore d'héritage fixe! Non il faut plus âgé, de ce fait ton avenir pourra être assuré. 

    -Suis-je obligé? A près tout, j'ai bien des cousines qui ne sont pas encore marié à 20 ans.

    -Oui, mais elles, elles ne sont pas filles uniques. Conclut sa mère toujours le sourire aux lèvres, pour finalement taper dans ses mains renvoyant ainsi les servantes. Je te dis à tout à l'heure ma chérie. Tu es superbe! Ainsi tu feras tourner la tête des hommes! Ce fut ses dernières paroles, avant de claquer la porte pour la laisser seul. 

    Bien avec du mal Ilona tenta de défaire les ficelles qui nouait le dos de sa robe. Finalement elle parvint à tous les défères sauf le dernier, bien trop serré à son grand désarroi, quand subitement on frappa à sa porte, celle-ci répondit aussitôt par un ''entrez'', toujours absorbée par ses tentatives futiles de retirer cette affreuse robe.

    -Oh! Lorenzo c'est toi! Tu tombes bien... pourrais-tu m'aider! Fit Ilona l'air soulagée de voir enfin quelqu'un de censé entrer dans sa chambre. 

    Son cousin semblait déjà près pour le bal, vêtue d'un magnifique costume blanc et rouge, le rouge était la couleur de la famille, malheureusement elle ne l'aimais pas, les cheveux de Lorenzo était noir et impeccablement rejetés en arrière. Il allait une énième fois faire tomber des cœurs ce soire, cette pensée la fit rire intérieurement. Décidément toute sa famille était lié à ce que l'on pouvait appelé la séduction. 

    Lorenzo, une fois entré, écarquilla les yeux lorsque sa cousine se tourna vers lui, ce qui lui permit de voir la tenue dont sa tante avait affublée sa fille.

    -Ilona?! Mais qu'es-ce-que c'est que cet accoutrement! Couvre toi! Dit-il en prenant un des foulard résidant sur le lit, déposé par sa mère tout à l'heure. Ilona ria en prenant le foulard que son cousin lui tendait avec un bref merci.

    -C'est une idée de ma mère, ce soire elle veut que je trouve un homme! Non un Bellâtre comme elle dit! Rectifia telle en riant.

    -Elle veut donc que tu trouves un homme sans le moindre caractère. Constata Lorenzo en détournant le regard alors que sa cousine faisait de son mieux pour se cacher, il battait du pied et se sentait horriblement nerveux.

    -Ah et fortuné n'oublions pas ce détail très important! Ajouta celle-ci sans se rendre compte de la gène de Lorenzo. Donc? Fit-elle.

    -Hein? Oui quoi? Demanda l'homme, le regard se tournant automatiquement vers elle.

    -Je tés demander de m'aider, m'aider pour la robe! Lui rappela t-elle. 

    Il se sentit tout à coup ridiculement petit et idiot.

    -Ah eum... Mais oui biens sure. Tourne toi. Dit-il précipitamment. Hors de question que tu aille au bal affublé comme cela. Commença t-il en se démenant avec le dernier nœud. Ta mère à de drôles d'idées, ne parlons même pas de ton père! Vraiment...

    -Ah oui? 

    -Bien évidement. Enfin Ilona tu es beaucoup trop jeune pour le mariage! Tu n'es encore... qu'une enfant. Conclut-il en avalant sa salive en repensant malgré lui au décolleté plongeant qui lui avait permis une vue d'ensemble, assez indécente envers sa cousine.

    -Oui mais un jour je devrais bien en sortir de l'enfance?

    -Pas forcément. Murmura t-il entre ses dents. 

    -Qu'as-tu dis? Demanda t-elle.

    -Oh rien. Se rattrapa Lorenzo après qu'il eut réaliser avoir dit sa pensée à voie haute.

    -Mhh... De toute manière je ne veux pas me marier, si je le pouvais jamais je ne le ferais.

    Lorenzo en sourit tendit qu'il réussit à défaire le nœud.

    -Ne tant fais pas. Je parlerais à ton père tout à l'heure, moi aussi je suis de la famille ne l’oubli pas. Tant que je serais là, tu ne feras rien que tu ne désire pas, je peux être très convaincant! Le sais-tu?

    Toujours en tenant le foulard contre elle ainsi que le devant de la robe elle se retourna l'air toute heureuse.

    -Tu ferais sa pour moi?! Parler à mon père et essayer de le faire renoncer? 

    Lorenzo hocha la tête avant d'ajouter.

    -Oui et autant de temps que je le pourrais Ilona. C'est promis.

    Toute heureuse Ilona sauta sur son cousin pour le serrer fort contre elle. Depuis toujours Lorenzo avait pris soins de sa personne, et à vrai dire ils étaient tellement proche qu'elle le considérer comme un frère. Le frère qu'elle n'avait jamais eux. 

    Elle se souvenait encore de la première fois qu'il était venue au château, quelques mois avant de définitivement emménager avec sa sœur Fiona. Ilona avait à 11 ans à cette époque, et possédait une véritable passion pour le tressage de cheveux, mais ses cousines ne voulait pas jouer avec elle et encore moins ses cousins, qui pourtant n'était pas plus âgé qu'elle. Elle était toujours seul, car ses cousines commençaient déjà à vouloir se pomponner et se conduire en adulte, déjà en quête de prétendant, alors qu'elle  jouait encore avec ses poupée! Ce jour la, tous l'avais insulté de bébé, ou alors de futur servante, car pour vouloir tresser des cheveux c'était tout ce qu'elle devait être. Et alors qu'elle pleurait dans le jardin il était apparut, du haut de ses 15 ans, le plus âgé de tous et qui lui avait demandé ce qu'il n'allait pas, et c'est après qu'elle lui eut expliquée, qu'il lui sourit avant de lui proposer de nouer ses cheveux, car oui à l'époque Lorenzo avait une longue chevelure, qui plaisait beaucoup aux femmes. Depuis cet instant il était devenu son cousin préféré.

    Revenant finalement dans le monde présent, elle manquait d'étouffer son cousin qui riait sous l'asseau de sa cousine.

    -Merci, merci, merci! Fit-elle avant de déposer un bref baiser sur sa joue. Ce qui le paralysa un instant, alors qu'Ilona était déjà partie regarder ses autres robes, c'est au bout de quelques minutes qu'elle lui dit-alors.

    -Hum hum. Enzo? Tu peux t'en aller? Il tourna son visage vers elle avant de doucement hocher la tête.

    -Oui bien sure. Répondit-il. Je serais derrière la porte, je t'attendrais. 

    Ilona lui sourit en hochant la tête frénétiquement. Une fois seul elle lâcha la robe dont sa mère l'avait vêtue, avant de finalement sortir de l'une de ses malles une robe qu'elle avait elle même confectionnée. Celle-ci était de la couleur ivoire, longue et bouffante; Ornée de perles et de quelques diamants prit sur des bijoux qu'elle ne mettait plus.

    Oui c'était cette robe qu'elle porterait.

    ***

    Dimitri riait comme un fou en voyant le costume qu'Adrian venait de mettre. Même Antonio, déjà bien vêtue riait face à ce spectacle, Adrian avait était assez confiant pour écouter les gout vestimentaire de Dimitri, qui c'était d'ailleurs habillé d'un ensemble violet brillant de toute part.  Mais revenons à Adrian qui portait un costume blanc à paillette, très, très affriolant. 

    -J'aurais crue que cela aurait eu pire résultat! Mais ce n'est pas si mal! S'amusa Dimitri.

    -Ah ah! Très drôle! N'as-tu pas autres choses? 

    -Pourquoi ne pas te vêtir de tés propres habille? Demanda Antonio vêtu d'un costume noir, sobre et qui le rendait plus grand qu'il ne l'était déjà.

    -Oh non! Il n'a que du bleu en stock! Railla Dimitri. Le blanc ça change! Et puis cela te va bien! Nous allons à un bal! Quelque chose me dit que tu ne seras pas le seul vêtue de paillette ce soir! Lui indiqua son amis qui remis ses longs cheveux bouclés en ordre.

    -Oui... Les femmes! Fit remarquer Adrian.

    -Pas forcément! Qu'es-ce-que c'est de ce cliché? Moi je ne suis pas une femme! Lui fit remarquer Dimitri. 

    -Non. Mais toi tu es toi. Dimitri l'homme le plus extraverti de Venise dans toute sa splendeur! Dit Adrian un sourire aux lèvres tout en s'inclinant doucement face à son amis visiblement très amusait.

    -Merci mon petit chou! Je le prend comme un compliment! De toute manière dans la vie peut importe ce que l'on te dit, il vaut mieux bien le prendre, ça évite les prises de tête inutiles!

    Antonio et Adrian se regardèrent en secouant la tête, amusés de leur ami.

    Ils étaient actuellement chez Dimitri, entrain de se préparer, la demeure était vaste, pas comme la leur mais cela rester correcte. Qui plus ais la décoration était très belle. 

    Dimitri vivait seul, son oncle lui versé une somme d'argent tout les mois afin de subvenir à ses besoins et en contre partie Dimitri aidait son oncle dans ses affaires, autrement-dit, son oncle était poète, et Dimitri lui faisait ses textes lorsque l'inspiration lui manquait, il avait tout les talents dans le sang, c'était inné chez lui. 

    Les sortants de leurs petite bulles, trois filles vêtue de robes courtes arrivèrent en riant, Adrian les regarda en souriant, alors elles allèrent vers lui pour le contempler.

    -Comment me trouvez-vous? Leurs demanda Adrian septique.

    -Tu es très beau Adrian. Répondit la première.

    -Tu brille c'est attrayant. Fit la seconde.

    -Tu es de loin le plus beau. Conclut la dernière.

    -Hum hum! Et moi les filles? Quémanda Dimitri, se sentant quelque délaissé. 

    Lorsqu'elles réalisèrent à quel point elles avaient négligé leur ''préféré'' elles coururent à sa rencontre en murmurant des pardons à genoux.

    -Mais non les filles! Je plaisanter! Dit-il amusait du fait qu'elles accoururent vers lui.

    Mais malgré son rire, elles avancèrent face à lui, deux d’entre elles se mirent alors de chaque coté de ses épaules pour lui repassé correctement ses manches.

    -Merci c'est très gentille à vous. Il laissa courir son regard sur la troisième qui restait en retrait, il lui sourit alors pour dire. Allez, va voir ton Antonio Antoinette. Celle-ci partit aussitôt pour aller vers Antonio en souriant, qui lui rendit son sourire. 

    Tout deux se mirent à discuter, et Antoinette lui dit à quelle point elle le trouver beau. Dimitri espérait qu'un jour Antonio ouvrirait son cœur aux demoiselles, car lorsque certaines d'entre elles s’éprenaient de lui. Il ne remarquait rien...

    -Bon. Antonio, désolé de te couper dans ta conversation mais nous devons y allé! Le Bal va commencer sans nous sinon! Dimitri? Fit Adrian en regardant tour à tour ses deux amis.

    -Sortez les premiers. Je peaufine ma coiffure, je ne voudrais surtout pas que mes cheveux me gène pendant la fête, cinq minutes pas plus, promis juré.

    Les garçons hochèrent la tête pour finalement laisser Dimitri seul avec les filles, celui-ci finissait de mettre ses cheveux en arrière grâce à des tresses partant du coté droit. Sa rendait plutôt bien avec ses cheveux long et frisé qui partait à présent vers la gauche. 

    -Dimitri? Demanda la première fille au centre des trois.

    -Oui?

    -Pouvons-nous allez au bal également? Nous et tout les autres?

    Celui-ci fronça les sourcils.

    -Mais biens sure! Pourquoi me demander pareille chose! Vous êtes libres d'y aller comme tout le monde!

    Dimitri était quelque peu exaspéré, ces filles, ainsi que toute les personnes qui constitués sa petite bande était des personnes incomprises qu'il avait pris sous son aile, depuis des liens s'était tissés, et pour certains, des jeux innocents étaient devenue la réalité, alors tous se conduisait avec un immense respect envers sa personne. Bien que ce n'était pas pour lui déplaire, parfois sa le perturbé, lui qui n'était rien que le ''vagabond des rues''.

    -Parfais nous allons prévenir les autres! Fit-elle joyeuse, mais Dimitri la coupa.

    -D'ailleurs, j'ai pour vous trois, mes petites préférés, un cadeau pour chacune qui vous attend dans la chambre d'amis. Trois belles robes pour vous danser ce soire! Allez vous préparez, et partez vous amuser avec les autres!

    Les filles sautillèrent de joie, avant de l'enlacer puis de partir courir vers la chambre sous le regard tendre de Dimitri qui leva les yeux aux ciels avant de rejoindre ses amis dehors. 

    Près pour partir au bal.

    ***

    Ilona sourit une foie vêtue de sa robe. 

    Pour l'occasion elle avait décidé de laisser ses cheveux détaché, ils étaient blond vénitien et ses yeux vert faisait ressortir l'ivoire de sa robe. Elle se sentait particulièrement ravis du travaille qu'elle avait fournit. Elle se demandait qu'elle serait la réaction de sa mère, puisqu'elle ne portait pas la robe que celle-ci avait choisit. 

    Quant-elle eu définitivement fini, elle soupira et ce décida à sortir de sa chambre. Lorenzo l'avait attendu tout ce temps devant sa porte, lorsqu'il se tourna pour la regarder, il resta un moment interdit, ne se rappelant même plus de ce à quoi il avait bien pu penser quelques secondes avant.

    -Tu es magnifique. Lui dit-il finalement après s'être reprit intérieurement.

    -Merci! Je les faites moi même! Elle te plaît? Demanda Ilona en tourna sur elle même.

    -Oui beaucoup, décidément tu as des doigts de fée pour avoir réalisée une robe pareille.

    Elle lui sourit toute heureuse.

    -Au faite, tout à l'heure je n'ai pas eu l'occasion de te le dire, mais toi aussi tu es très beau! Quelque chose me dit que ce soire les demoiselles qui vont venir seront subjuguées! Déclara t-elle. En même temps quoi de plus normal! Mon cousin est le plus beau de tout les hommes de Venise! Même si je te préféré avec de long cheveux... Fit-elle avec regret.

    Lorenzo poussa un petit soupir amusait. 

    Il adorait quant-elle le complimenté. Il lui proposa alors son bras qu'elle saisit avec aisance et tout deux ce mirent en route.

    Dans le couloir, juste avant d'arriver aux grands escaliers pour descendre, Fiona apparut à son tour un sourire crispé aux lèvres. 

    -Tiens... vous deux. Que faites vous ensemble? Demanda telle le regard persan.

    -Je sers de cavalier à notre cousine, Fiona. Comme à chaque réception.

    -Oui sa je le sais bien. Mais après tout, ce soire toute la ville risque d'être présente, qui sais... tu pourrais faire une rencontre Ilona chérie. Énuméra Fiona l'air très sérieuse.

    Et bien que Ilona n'avait aucune sorte d'envie de faire une rencontre, elle se contenta de sourire à sa cousine et de déclarer.

    -Oui peut-être Fiona. Oh et mère m'as dit que l'idée du bal te revenais?

    -Ah oui? Pourquoi une telle idée? Demanda alors Lorenzo en fixant sa sœur, lorsque celle-ci faisait quelque chose, c'était toujours en rapport avec ses désirs personnelles. 

    -Mais pour nous amuser. Quoi d'autre? Fit-elle de manière innocente, en fixant son frère et sa cousine. 

    Sentant les regards du frère et de la sœur tendus, Ilona entraîna son cousin avec elle dans les escaliers, tout deux riants, pour finalement descendre définitivement sous les yeux d'une Fiona exaspérait.

    ***

    Les trois amis, marchaient en route pour le bal auquel ils allaient bientôt prendre part.

    -Alors Adrian? Près pour séduire ce soire? Demanda Dimitri.

    -Arrête un peux, tu va le stresser. Répondit Antonio amusé.

    -Je ne fais que demander! Se justifia l'homme en mauve, un immense sourire aux lèvres, dévoilant ses dents blanches.

    -Si tu veux tout savoir, alors oui je suis près. Cette pucelle n'est pas prête à ce qui l'attend se soire. Car elle me tombera dans les bras.

    -En une soirée? Fit Dimitri dubitatif.

    -Aucune femme ne me résiste! Déclara alors Adrian avec une pure évidence qui se lisait sur le visage.

    -Tu as de la chance. Lui dit Antonio. Parfois je me dis que j'aimerais te ressembler pour ton succès auprès des femmes, mais lorsque je vois ton arrogance, bizarrement cette envie disparaît! Finit-il, fière de sa blague qui fit rire à gorge déployé Dimitri.

    -Ce sera une belle soirée. Conclut Adrian en ignorant la remarque de son amis.

    -Oui mais peut-être que ce soire mon bel amis, tés plan se retournerons contre toi et que tu découvrira l'amour fou, le vrai! Ajouta Dimitri rêveur toujours aussi souriant avec une envie de taquiner Adrian.

    Celui-ci soupira, lasse du comportement de ses amis qui parfois l'exaspéré. Il l'avouait, cette soirée il appréhendait son pari, car premièrement avant d'aller séduire une jeune femme de 16 ans. II fallait déjà la trouver, lui qui ne savait même pas à quoi elle pouvait ressembler. 

    -L'amour, l'amour, l'amour! Tu en parle toujours! Mais que sais-tu de l'amour au juste Dimitri? Questionna le blondinet vêtue de blanc.

    -Moi? Ce que je sais de l'amour? Ah... et bien L'amour sa n'a pas d'âge ou de limite. Lorsque l'on aime on est près à faire n'importe quoi pour l'autre sans ce poser de question, sa peut aller jusqu'à la mort! Et c'est étrange car on ce dit toujours que l'on ne pourrait vivre sans l'être aimé, alors qu'auparavant il ne faisait même pas partie de notre vie! Mais une fois que tu y goûte, c'est comme si tu ne pouvais plus t'en passer et ceux malgré tout tés effort démesuré. L'amour est un sentiment à la fois horrible et magnifique, il peut nous trahir, nous faire plonger dans la folie et peut-être même voler notre vie. Pourtant sa nous apporte aussi réconfort, chaleur, joie et protection. C'est ce qui fait de nous des hommes des vrais! L'amour est une émotion à part car c'est à la fois douloureux et apaisant. Quand tu aimes, ton cœur bat la chamade, tu ne respire presque plus, et c'est une chose horrible à supporter seul. Mais quand tu es accompagné, le sentiment devient agréable t'obligeant à toujours vouloir le ressentir. Et quand tu te brise, le cœur ne se remet pas, et pourtant peu encore aimer, mais plus comme avant. C'est également sa qui est si beau et triste; les raisons du cœurs... Conclut Dimitri, face à ses deux amis, qui restaient mués face à ce discourt.

    -Ouah. C'était très beau. Fit Antonio. Dis moi Dimitri... as-tu déjà aimé?

    -Moi? Oh non! Répondit l'excentrique comme si cela était une évidence.

    -Alors comment tu peux savoir ça?! C'est juste ridicule, complètement ridicule! Déclara Adrian en avançant devant.

    Les deux amis se sourirent, décidément Adrian ne changerait peut-être jamais.

    -En tout cas la femme qui t'auras aura bien de la chance. Dit Antonio à son amis dans un sourire.

    -Ou l'homme! Ajouta Dimitri.

    -Oui! Ou l'homme! Rectifia Antonio en entraînant son amis bras-dessus bras dessous.

    Bien vite ils rattrapèrent Adrian. Et tous les trois se retrouvèrent enfin face à l'immense château, ou diverse invités entraient. 

    Il était temps pour eux d'entrer dans la danse.

    La soirée promettait d'être grandiose.

     


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  • CHAPITRE 1:

     

    Aujourd'hui je vais vous conter une histoire oublié de tous, celle-ci à lieu dans une ville parsemé d'eau considéré comme l'une des plus romantique de toute. Il s'agit bien évidement de la belle Venise.  C'est là que ce produirons les événements de mon récit. Remplit d'amour, de jalousie, de rivalité, d'interdiction, de désir et de mensonge. Finira t-elle bien? Oh sa c'est une question à laquelle je ne peux pas répondre. Voyez-vous en tant qu'auteur et conteur je ne peux pas me le permettre, ce serais gâcher l'histoire. 

    J'espère que vous l'aimerais de tout mon cœur, car ceci est l'histoire de mes amis.

    ***

    Bien loin des amusements et du quotidiens du peuple, vivait dans un château à l'autre bout de la ville la grande famille ''Capucine''. Celle-ci était la plus puissante de toute Venise et aider le prince à remplir ses caisses d'argents et de lingot d'ors, bien évidement tout cela en prenant sur le salaire que gagner les pauvres citoyen. Enfin je ne dirais pas que nous étions tous pauvre, certains d'entre nous étaient même nobles.  

    La famille Capucine était une immense famille, avec de nombreux membres qui vivaient tous au château. Grand parents, tantes, oncles, sœurs, frères, cousins et cousines. Heureusement que l'immensité du domaine permettait de tous les réunir, sinon dieux sais ou ils auraient construit leurs battisses. 

    Au cœur de cette famille vivait Ilona, l'unique fille du couple représentant de la famille.  Elle était destiné à un grand mariage, et des fêtes à ne plus savoir que faire, un monde de royauté lui tendait les bras, mais celle-ci la supportait déjà depuis bien longtemps. Âgé d'aujourd'hui 16 ans, il ne lui manquait plus qu'un mari. Hors elle n'en voulait pas, même si cela signifiait finir comme la vielle tante Agrippine, considéré comme une paria. Elle était prête à tout pour rester libre.

    Elle rêvassait, appuyé contre la fenêtre de son immense chambre, quand soudainement la porte de celle-ci s'ouvrit pour laisser apparaître Liam et Luca, les deux jumeaux de la familles, âgés de 13 ans qui se battaient encore, Ilona sourit en les voyants se quereller tout en se tirant les cheveux. Voyant les choses déraper elle se décida à venir les séparer.

    -Allons, allons! Qu'es-ce-qu'il se passe!? Fit-elle la mine en colère, face au deux jumeaux qui malgré leur âge semblait minuscule tel des enfants d'à peine 10 ans.

    -C'est de la faute de Liam! Il dit qu'un jour tu vas partir avec un mari! Alors que c'est faux! Hein que c'est faux?!

    -Imbécile, bien sure que si elle devra partir! Comme toute les cousines qui se sont marié! Une femme sa se doit de suivre son homme! Répondit Liam à Luca tout en croisant les bras.

    Bien que ce sujet me semble très polémique, je pense juste qu'Ilona soupira face au sujet de leur dispute.

    -Les garçons, il faut arrêter de penser à ce genre de chose d'accord?

    Les jumeaux hochèrent la tête, finalement Ilona s'accroupit à leurs niveau l'air impatient.

    -A part cela, comment c'est passé la missions? Pour une raison inconnue celle-ci avait l'air avide de réponse.

    Ses cousins luis sourirent avant que Liam ne sorte de sa poche une petite boite, Ilona la saisit avant de l'ouvrir, il s'agissait d'une bague de fiançailles.

    -Comme sa Monsieur Mantoue ne pourras pas faire sa demande! Pas de bague de fiançailles, pas de mariage! 

    -Oui et en plus le fait d'avoir trouvé des lettres de ses amantes en fouillant dans sa chambre ne risque pas de plaire aux parents, quant-ils les découvrirons dans leur chambre plus tard. Rajouta Luca en se tenant droit et fière. 

    Tout deux avaient un sourire de diablotin, Ilona les prit alors dans ses bras avant de chacun les embrasser sur les deux joues.

    -Vous voyez... c'est en continuant à m'aider ainsi, que je pourrais rester pour toujours auprès de vous. Fit-elle tandis que ses jeunes cousins l'enlacèrent subitement, tout souriant.

    Bien vite elle les renvoya avec un dernier merci. Et repartit à ses rêveries de liberté, elle méprisait le statue des femmes d'aujourd'hui. Elle voudrait tant prouver qu'elles étaient bonnes à autre chose qu'enfanter. Rien que cette idée la rebuter. Finalement elle s'installa dans son lit avec un livre à la mains pour se plonger dans un univers bien différent du siens.

    ***

    Toujours dans la demeure, Lorenzo Capucin se baladait, quant-il entendit soudain des murmures, il reconnut la voie de sa bien-aimé cousine Ilona et se cala contre un mur tout proche, afin d'écouter. 

    ''Comme sa Monsieur Mantoue ne pourras pas faire sa demande!''

    ''Vous voyez... c'est en continuant à m'aider ainsi, que je pourrais rester pour toujours auprès de vous.''

    Celui-ci ne put entendre que des brides de la conversation, mais ce fut assez pour comprendre.

    Il en sourit, avant de voir ses cousins repartir en déballant le grand escalier, finalement celui-ci passa devant la porte de sa cousine avec l'irrésistible envie d'aller la voir, il se dit d'abord que c'était ridicule, puis décida de regarder par l'entrebâille de la porte. Ilona était posté dans son lit à lire un livre toute souriante, pour lui ce fut communicatif et il en sourit également, doucement mais sûrement, il ferma la porte ne voulant nullement que quelqu'un vienne l'interrompre.

    Il ignorait pourquoi, mais il était envahit par la bonne humeur et possédé un sourire jusqu'aux oreilles, puis finalement il arriva à destination de ses appartements et ouvrit la porte, faisant sursauter sa sœur qui se recoiffait devant son miroir. 

    -Pourquoi un si jolie sourire? Toi qui déteste tant faire cela... Questionna sa sœur suspicieuse, en se tournant vers lui, celle-ci était vêtue d'une robe verte, et ses magnifiques cheveux noire bouclés lui arrivait jusqu'au bas du dos. 

    Que vous dires d'elle? Ah et bien que c'est l'une des plus belle femme de la haute société de Venise, aussi exquise qu'une rose pleine d'épine, aucun homme n'avait jamais pu la saisir, en même temps quand des épines sont si pointues, qui viendrait se risquer à cueillir la rose à part un fou?

    Son frère aîné ne lui répondit pas et se laissa à la place choir dans l'un des sièges qui résidait à proximité. 

    -Mais il n'y a rien Fiona, je t'assure. Lui répondit-il tout en regardant ailleurs, sa petite sœur d'un an de moins que lui, voyait bien qu'il était ailleurs et décida donc de deviner elle même ce qui pouvait mettre son frère dans un état pareille, même si elle avait déjà une petite idée.

    -Alors voyons voir... serais-ce notre cousine adoré qui à une énième fois de plus trouvé on ne sais qu'elle moyen pour se débarrasser de son nouveau soupirant? Elle le vit se figer brièvement. Je le savais! Fit-elle en claquant sa brosse à cheveux ornée de perles sur la commode, un air en colère sur le visage voir consterné. Oh mon frère, mon pauvre frère aîné... Continua t-elle en se levant faisant du mieux qu'elle pouvait pour avoir une voie douce, même si les nerfs lui montés.

    -De quel droit tu prends cet air avec moi? Demanda Lorenzo le regard sombre, sa bonne humeur subitement retombé.

    -Je suis ta sœur, je prend donc l'air que je veux. 

    Il détourna le regard, préférant l'ignorer. Fiona sourit avant de se mettre à tourner autour de son frère, pour finalement lui saisir son visage entre ses doigts experts.

    -Oh toi mon frère, mon pauvre frère qui fait sa loi à qui il le souhaite, celui qui fait parler de lui dans tout Venise, celui que toute les femmes désires, moi la première si tu n'étais pas mon frère. Et grand dieux celui à qui reviendra le plus grand des plaisirs si il veut bien le saisir! Ce frère la... fais tanguer ses murs, pour les yeux d'une pucelle, qui n'est autre que sa cousine?! 

    Il secoua vivement la tête pour qu'elle le lâche, il fut si violent qu'elle entreprit de reculer aussitôt mais ne se priva pas pour continuer.

    -Combien de fois t'ais-je dis!? Non supplier même d'arrêter cette folie?! Puis-je te rappeler que jamais tu n'auras de chances avec elle? JAMAIS tu n'auras Ilona!

    Fou de rage Lorenzo se releva de son siège pour marcher vers sa sœur.

    -Et que vas-tu faire? Hum? Tu sais que j'ai raison. Et puis la violence ne résout jamais rien mon frère. Mais dois-je refaire ton portrait pour que tu comprenne pourquoi Ilona ne t'aimera jamais? Comment dit ce stupide arriviste qui sévit dans les rues déjà... ce fameux Dimitri!? Ah mais oui! Maintenant je m'en souviens.

    -Peut importe ce que ce moins que rien raconte à mon propos c'est faux! Clama Lorenzo l'air contrarié et les poings serrés. 

    -Ah oui? Es-tu sure? Il dit de toi que tu es un lâche. Un lâche qui croit en un courage qu'il n'a pas! Un vantard qui se vente de ses plaisirs alors qu'il n'en tire aucun délice! La liste est encore longue je peux continuer longtemps. Le veux-tu?

    Silence.

    -Non ma sœur.

    -Bien mon frère. Conclut-elle.

    Fiona sourit en retournant face à sa coiffeuse, mais c'est sans conter sur son frère qui enchaîna.

    -Ilona est ma cousine, j'ai totalement le droit de me réjouir si un soupirant est écarté, surtout quand je sais qu'il n'était pas assez bien pour elle. Elle est comme une seconde sœur, donc je ne souhaite que la protéger. Fit-il en venant s'occuper des cheveux de Fiona qui ria.

    -Tu ne souhaite pas me protéger, pourtant je suis ta véritable sœur Enzo. Ne me prend pas pour ce que je ne suis pas, une idiote en l'occurrence. Je ne suis pas l'une de ces jouvencelles ou encore pucelles que tu courtise à longueur de journée. Elle fit une brève pause. Mais je comprend ce que tu ressens, cela doit-être pesant, quand la personne aimé ne nous aimes pas... Surtout lorsque tout le reste des cousines ainsi que les filles de la ville sont à tés pieds. Termina t-elle vicieusement. 

    Finalement Lorenzo claqua à son tour la brosse sur la coiffeuse avant de partir, claquant la porte sur son passage.

    Fiona soupira avec un petit sourire, décidément son frère était unique. S'accrocher ainsi... c'était faible, elle aimerait bien vivre sa propre vie au lieux de toujours le surveiller. 

    Mais comment faire lorsque tout ce qu'il te reste c'est un frère? Un frère qui ne se préoccupe aucunement de toi, mais pour qui tu abandonnerais tout? Fierté, honneur, réputation et tout ce qui pouvait constituer une personne.

    -Il faut vraiment le débarrasser cette lubie qui le suit depuis ses 15 ans! 20 ans et toujours au même point, c'est désespérant. Soudainement son regard dériva sur le portrait de ses parents accroché dans sa chambre près du lit. Père, mère... je vous promet de ne pas vous décevoir.

    Puis tout à coup, son esprit s'illumina, elle venait d'avoir une idée.

     ***

    Cette fois ci, bien loin du château et quelques heures plus tard, nous retrouvons Adrian et Antonio marcher dans la belle Venise. Deux hommes de 20 ans et noble de surcroît qui revenaient tout juste d'un long voyage. Les deux amis vaquaient à leurs discutions, quand subitement une horde de femmes et d'hommes leurs tombèrent dessus!

    -Les amis! Clama Antonio tout heureux.

    Il s'agissait là de leur groupe avec qui ils faisaient toute les folies du monde, et pour Adrian particulièrement... la luxure. La plus part des femmes présentes ici avait partagés sa couche. D'ailleurs celles-ci vinrent s'accroupirent près de lui, le regard tout heureux. Tandis que Antonio saluer les hommes de son coté.

    -Bonjours mes amours. Fit Adrian en caressant une à une leur cheveux pour en relever certaines par le menton. Si vous êtes la, le maître aussi je suppose? Les filles hochèrent la tête quand la silhouette d'un homme vêtue exclusivement d'un costume rose et possédant de long cheveux frisé vint face à eux de manière théâtrale.

    -Dimitri! Dirent les garçons d'une même voix, tout souriants.

    -Et c'est moi le maître je présume? Demanda le nouvel arrivant amusé.

    -Qui d'autre? Se sont tes filles après tout! Scanda Adrian en tenant deux d'entre elles par les épaules.

    Le bel homme vêtue de rose explosa de rire avant de dire.

    -Mais non voyons! Elles appartiennent à elles seul! Et font ce qu'elles désires de leurs envies et de leurs corps! Expliqua t'il. C'est si rare de nos jour, à moins d'atterrir dans un bordel! Et encore, la plus part font cela pour gagner leurs vies! Mais avec moi... tu ne trouvera que des filles de noblesse, elles sont si belles, et si tendres, les as-tu toute essayé mon bel amis? Questionna Dimitri.

    -A peux près oui... Mais j'ai besoins de nouveauté! Ton harem ne m'importe plus. Il se dégagea de l'étreinte des filles qui allèrent à la suite vers Antonio, qui pour les saluer, leur baisa la joue une à une. Tu as de la chance tout de même d'avoir toute ces filles à ta disposition. Rajouta Adrian.

    -Oh mais voyons! Pour qui me prends-tu? Ces hommes aussi le son!  Fit-il en désignant la petite troupe masculine près des filles. Tu sais bien que je ne me contente pas que de la gente féminine, j'explore et je me noie dans un plaisir continuel avec l'embarras du choix, je ne m’ennuie jamais! Je découvre sans cesse des choses... si plaisante. Crois moi sur parole! Mais si toi tu veux du changement, je suis la mon petit cœur! Déclara Dimitri en venant saisir le visage d'Adrian qui lui sourit. Tu m'as manqué tout ce temps, toi et Antonio à partir en voyage avec votre famille deux mois entier! Je me suis ennuyer mon petit Adrian... Et toi? T'es tu lassé de moi?

    -Oui. Tu nous as beaucoup manqué mon frère! Lui répondit Adrian. 

    Sa réponse fut accueillit par un sourire avant que Dimitri ne l'enlace fortement. 

    -Antonio! Ne viens-tu pas m'embrasser toi aussi?! 

    Celui qui étais appelé, répondit par un mouvement fluide afin de venir enlacer Dimitri, finalement cette accolade fini en câlin à trois.

    -Ah mes frères! Vous m'avez tous les deux manqué! Dit-il à ses deux amis. Ensemble ils se mirent à marcher, suivit de près par le harem privé de Dimitri, qui finit par se retourner et dire.

    -Aller vous amuser ailleurs s'il vous plais, il faut que je parle seul à seul, à mes amis. 

    Tous s'inclinèrent avant de partir.

    Dimitri n'était pas un noble, mais on ne peux pas dire qu'il était pauvre non plus. Il était une sorte de juste milieux parmi l'échelle sociale, et sa prestance ainsi que son allure surprenante lui offrait le don de ce faire apprécier de tous, surtout des femmes, et des hommes aussi... avec certains penchant.

    -Bien, bien, bien... ENFIN SEUL! Alors j'espérais vraiment que vous seriez de retour dans l'après-midi! Car ce matin, en fin de mâtiné une nouvelle est tombé! Il y a un bal mes amis oui! Et toute la ville est invité! 

    -Un bal? Mais ou sa? Questionna Antonio.

    -Chez la famille Capucine biens sure! Organisé par la divine Fiona! L'idéal pour nous de rencontrer de jolies femmes à courtiser et à aimer.

    Adrian, suite à cela, ria dans ses dents et Dimitri fronça les sourcilles.

    -Je peux savoir ce qu'il y a de drôle? Demanda l'homme en rose.

    -A aimer? L'amour n'est que foutaise. Il n'y a que le plaisir entre les femmes et les hommes, elles sont la pour nous combler, rien d'autre. Déclara le beau jeune homme de manière très sérieuse.

    -Oulala, je ne te permet pas mon Adrian. Je t'aime, tu le sais, mais non grand dieux non,  je ne peux te laisser penser pareille sornette. Les femmes ne sont pas la pour nous combler ou nous plaire, c'est plutôt à nous de tout faire pour cela!

    Antonio sentait que la conversation allait bien vite partir en vrille entre ses deux amis.

    -Toi qui possède un harem tu peux bien parler! Répliqua alors Adrian.

    -Elles sont toutes consentantes! Je n'ai rien forcé ou même imposé! Vois-tu... quelque chose en moi les attires, je n'y peux rien! Mais ce que je fais avec mon petit harem ne regarde que moi et c'est fais dans un consentement mutuelle si tu veux tout savoir. Mais ce n'est pas pour autant que je considère les femmes comme des objets! Grand dieux non! Celui-ci partit vers le bord, ou de l'eau résidait, en tendant les bras, laissant le vent le rafraîchir de sa douce brise. Les femmes, sont comme nous, peut-être même pire que nous, dans le bon comme dans le mauvais! Vicieuse, belle, intelligente, remplit de désir, de chagrin, de joie, d'espoir et de crainte! La femme est un être humain comme nous! Pourquoi aurait-elle était crée pour uniquement nous combler mon brave? Mh? Moi je vois juste un bourreau des cœurs frustré car il s'ennuie!

    -Pas le moins du monde! Je suis juste... lassé, rien n'est plus pareille, je connais la plus par des femmes de cette ville par cœur... j'ai besoin de renouveau! Expliqua Adrian en regardant le ciel parsemer en cette journée de nuage.

    -Étonnant que tu n'es toujours pas eu une ribambelle de bambins illégitimes. Fit Dimitri dans un petit rire. Moi je dis que tu es fatigué, tout simplement mon Adrian, tu grandis intérieurement et tu n'éprouves plus cette envie si prenante avant que tu avais de séduire et de faire plier de plaisir tes conquêtes dans tés bras. 

    -Tu veux parier avec moi peut-être? Renchérit Adrian.

    -Tu perdras à tout les coups mon chou.

    -Les amis calmez vous... Dit-alors Antonio qui fut royalement ignoré.

    -Parfait les paris sont ouverts! Déclara le séducteur aux cheveux d'or.

    -Ajoute Ilona Capucine à la liste de tés conquêtes! Lui exposa Dimitri qui ne put s'empêcher d'afficher un grand sourire. On dit qu'elle n'a pas le cœur à l'amour. Celle-ci à repoussé chacun de ses prétendants on ne sait trop comment, qui plus-ais, il est dit qu'elle est d'une grande beauté.

    -Mais... elle n'as que 16 ans! Fit Adrian avec une horreur certaine, visible sur son visage.

    -Mhh oui et toi tu as 20 ans. 4 ans de différence c'est quoi face... au coup de foudre? Plaisanta t-il. Et puis justement! A 16 ans on a la vie devant sois! Si tu lui brise le cœur, elle pourra s'en remettre assez aisément, crois moi mon amis.

    -Bon les copains vous partez trop loin...

    Antonio fut coupé par un ''Tait toit'' Simultané de ses deux amis. Finalement il décida de se taire ce serais plus simple, ces deux la adoraient jouer. 

    -Très bien. J'accepte.

    Dimitri tangua quelque peut, surpris, il ne pensait pas qu'Adrian allait accepter, lui qui mépriser les gens de rand supérieure au siens. Mais c'est quelques minutes après s'être remis de la surprise que les deux se serrèrent la mains.

    Le pari était lancé.

    Et ce soir, tous iraient au bal.

    Mais personne n'était préparé à ce qui allé suivre.


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