• CHAPITRE 1:

     

    Aujourd'hui je vais vous conter une histoire oublié de tous, celle-ci à lieu dans une ville parsemé d'eau considéré comme l'une des plus romantique de toute. Il s'agit bien évidement de la belle Venise.  C'est là que ce produirons les événements de mon récit. Remplit d'amour, de jalousie, de rivalité, d'interdiction, de désir et de mensonge. Finira t-elle bien? Oh sa c'est une question à laquelle je ne peux pas répondre. Voyez-vous en tant qu'auteur et conteur je ne peux pas me le permettre, ce serais gâcher l'histoire. 

    J'espère que vous l'aimerais de tout mon cœur, car ceci est l'histoire de mes amis.

    ***

    Bien loin des amusements et du quotidiens du peuple, vivait dans un château à l'autre bout de la ville la grande famille ''Capucine''. Celle-ci était la plus puissante de toute Venise et aider le prince à remplir ses caisses d'argents et de lingot d'ors, bien évidement tout cela en prenant sur le salaire que gagner les pauvres citoyen. Enfin je ne dirais pas que nous étions tous pauvre, certains d'entre nous étaient même nobles.  

    La famille Capucine était une immense famille, avec de nombreux membres qui vivaient tous au château. Grand parents, tantes, oncles, sœurs, frères, cousins et cousines. Heureusement que l'immensité du domaine permettait de tous les réunir, sinon dieux sais ou ils auraient construit leurs battisses. 

    Au cœur de cette famille vivait Ilona, l'unique fille du couple représentant de la famille.  Elle était destiné à un grand mariage, et des fêtes à ne plus savoir que faire, un monde de royauté lui tendait les bras, mais celle-ci la supportait déjà depuis bien longtemps. Âgé d'aujourd'hui 16 ans, il ne lui manquait plus qu'un mari. Hors elle n'en voulait pas, même si cela signifiait finir comme la vielle tante Agrippine, considéré comme une paria. Elle était prête à tout pour rester libre.

    Elle rêvassait, appuyé contre la fenêtre de son immense chambre, quand soudainement la porte de celle-ci s'ouvrit pour laisser apparaître Liam et Luca, les deux jumeaux de la familles, âgés de 13 ans qui se battaient encore, Ilona sourit en les voyants se quereller tout en se tirant les cheveux. Voyant les choses déraper elle se décida à venir les séparer.

    -Allons, allons! Qu'es-ce-qu'il se passe!? Fit-elle la mine en colère, face au deux jumeaux qui malgré leur âge semblait minuscule tel des enfants d'à peine 10 ans.

    -C'est de la faute de Liam! Il dit qu'un jour tu vas partir avec un mari! Alors que c'est faux! Hein que c'est faux?!

    -Imbécile, bien sure que si elle devra partir! Comme toute les cousines qui se sont marié! Une femme sa se doit de suivre son homme! Répondit Liam à Luca tout en croisant les bras.

    Bien que ce sujet me semble très polémique, je pense juste qu'Ilona soupira face au sujet de leur dispute.

    -Les garçons, il faut arrêter de penser à ce genre de chose d'accord?

    Les jumeaux hochèrent la tête, finalement Ilona s'accroupit à leurs niveau l'air impatient.

    -A part cela, comment c'est passé la missions? Pour une raison inconnue celle-ci avait l'air avide de réponse.

    Ses cousins luis sourirent avant que Liam ne sorte de sa poche une petite boite, Ilona la saisit avant de l'ouvrir, il s'agissait d'une bague de fiançailles.

    -Comme sa Monsieur Mantoue ne pourras pas faire sa demande! Pas de bague de fiançailles, pas de mariage! 

    -Oui et en plus le fait d'avoir trouvé des lettres de ses amantes en fouillant dans sa chambre ne risque pas de plaire aux parents, quant-ils les découvrirons dans leur chambre plus tard. Rajouta Luca en se tenant droit et fière. 

    Tout deux avaient un sourire de diablotin, Ilona les prit alors dans ses bras avant de chacun les embrasser sur les deux joues.

    -Vous voyez... c'est en continuant à m'aider ainsi, que je pourrais rester pour toujours auprès de vous. Fit-elle tandis que ses jeunes cousins l'enlacèrent subitement, tout souriant.

    Bien vite elle les renvoya avec un dernier merci. Et repartit à ses rêveries de liberté, elle méprisait le statue des femmes d'aujourd'hui. Elle voudrait tant prouver qu'elles étaient bonnes à autre chose qu'enfanter. Rien que cette idée la rebuter. Finalement elle s'installa dans son lit avec un livre à la mains pour se plonger dans un univers bien différent du siens.

    ***

    Toujours dans la demeure, Lorenzo Capucin se baladait, quant-il entendit soudain des murmures, il reconnut la voie de sa bien-aimé cousine Ilona et se cala contre un mur tout proche, afin d'écouter. 

    ''Comme sa Monsieur Mantoue ne pourras pas faire sa demande!''

    ''Vous voyez... c'est en continuant à m'aider ainsi, que je pourrais rester pour toujours auprès de vous.''

    Celui-ci ne put entendre que des brides de la conversation, mais ce fut assez pour comprendre.

    Il en sourit, avant de voir ses cousins repartir en déballant le grand escalier, finalement celui-ci passa devant la porte de sa cousine avec l'irrésistible envie d'aller la voir, il se dit d'abord que c'était ridicule, puis décida de regarder par l'entrebâille de la porte. Ilona était posté dans son lit à lire un livre toute souriante, pour lui ce fut communicatif et il en sourit également, doucement mais sûrement, il ferma la porte ne voulant nullement que quelqu'un vienne l'interrompre.

    Il ignorait pourquoi, mais il était envahit par la bonne humeur et possédé un sourire jusqu'aux oreilles, puis finalement il arriva à destination de ses appartements et ouvrit la porte, faisant sursauter sa sœur qui se recoiffait devant son miroir. 

    -Pourquoi un si jolie sourire? Toi qui déteste tant faire cela... Questionna sa sœur suspicieuse, en se tournant vers lui, celle-ci était vêtue d'une robe verte, et ses magnifiques cheveux noire bouclés lui arrivait jusqu'au bas du dos. 

    Que vous dires d'elle? Ah et bien que c'est l'une des plus belle femme de la haute société de Venise, aussi exquise qu'une rose pleine d'épine, aucun homme n'avait jamais pu la saisir, en même temps quand des épines sont si pointues, qui viendrait se risquer à cueillir la rose à part un fou?

    Son frère aîné ne lui répondit pas et se laissa à la place choir dans l'un des sièges qui résidait à proximité. 

    -Mais il n'y a rien Fiona, je t'assure. Lui répondit-il tout en regardant ailleurs, sa petite sœur d'un an de moins que lui, voyait bien qu'il était ailleurs et décida donc de deviner elle même ce qui pouvait mettre son frère dans un état pareille, même si elle avait déjà une petite idée.

    -Alors voyons voir... serais-ce notre cousine adoré qui à une énième fois de plus trouvé on ne sais qu'elle moyen pour se débarrasser de son nouveau soupirant? Elle le vit se figer brièvement. Je le savais! Fit-elle en claquant sa brosse à cheveux ornée de perles sur la commode, un air en colère sur le visage voir consterné. Oh mon frère, mon pauvre frère aîné... Continua t-elle en se levant faisant du mieux qu'elle pouvait pour avoir une voie douce, même si les nerfs lui montés.

    -De quel droit tu prends cet air avec moi? Demanda Lorenzo le regard sombre, sa bonne humeur subitement retombé.

    -Je suis ta sœur, je prend donc l'air que je veux. 

    Il détourna le regard, préférant l'ignorer. Fiona sourit avant de se mettre à tourner autour de son frère, pour finalement lui saisir son visage entre ses doigts experts.

    -Oh toi mon frère, mon pauvre frère qui fait sa loi à qui il le souhaite, celui qui fait parler de lui dans tout Venise, celui que toute les femmes désires, moi la première si tu n'étais pas mon frère. Et grand dieux celui à qui reviendra le plus grand des plaisirs si il veut bien le saisir! Ce frère la... fais tanguer ses murs, pour les yeux d'une pucelle, qui n'est autre que sa cousine?! 

    Il secoua vivement la tête pour qu'elle le lâche, il fut si violent qu'elle entreprit de reculer aussitôt mais ne se priva pas pour continuer.

    -Combien de fois t'ais-je dis!? Non supplier même d'arrêter cette folie?! Puis-je te rappeler que jamais tu n'auras de chances avec elle? JAMAIS tu n'auras Ilona!

    Fou de rage Lorenzo se releva de son siège pour marcher vers sa sœur.

    -Et que vas-tu faire? Hum? Tu sais que j'ai raison. Et puis la violence ne résout jamais rien mon frère. Mais dois-je refaire ton portrait pour que tu comprenne pourquoi Ilona ne t'aimera jamais? Comment dit ce stupide arriviste qui sévit dans les rues déjà... ce fameux Dimitri!? Ah mais oui! Maintenant je m'en souviens.

    -Peut importe ce que ce moins que rien raconte à mon propos c'est faux! Clama Lorenzo l'air contrarié et les poings serrés. 

    -Ah oui? Es-tu sure? Il dit de toi que tu es un lâche. Un lâche qui croit en un courage qu'il n'a pas! Un vantard qui se vente de ses plaisirs alors qu'il n'en tire aucun délice! La liste est encore longue je peux continuer longtemps. Le veux-tu?

    Silence.

    -Non ma sœur.

    -Bien mon frère. Conclut-elle.

    Fiona sourit en retournant face à sa coiffeuse, mais c'est sans conter sur son frère qui enchaîna.

    -Ilona est ma cousine, j'ai totalement le droit de me réjouir si un soupirant est écarté, surtout quand je sais qu'il n'était pas assez bien pour elle. Elle est comme une seconde sœur, donc je ne souhaite que la protéger. Fit-il en venant s'occuper des cheveux de Fiona qui ria.

    -Tu ne souhaite pas me protéger, pourtant je suis ta véritable sœur Enzo. Ne me prend pas pour ce que je ne suis pas, une idiote en l'occurrence. Je ne suis pas l'une de ces jouvencelles ou encore pucelles que tu courtise à longueur de journée. Elle fit une brève pause. Mais je comprend ce que tu ressens, cela doit-être pesant, quand la personne aimé ne nous aimes pas... Surtout lorsque tout le reste des cousines ainsi que les filles de la ville sont à tés pieds. Termina t-elle vicieusement. 

    Finalement Lorenzo claqua à son tour la brosse sur la coiffeuse avant de partir, claquant la porte sur son passage.

    Fiona soupira avec un petit sourire, décidément son frère était unique. S'accrocher ainsi... c'était faible, elle aimerait bien vivre sa propre vie au lieux de toujours le surveiller. 

    Mais comment faire lorsque tout ce qu'il te reste c'est un frère? Un frère qui ne se préoccupe aucunement de toi, mais pour qui tu abandonnerais tout? Fierté, honneur, réputation et tout ce qui pouvait constituer une personne.

    -Il faut vraiment le débarrasser cette lubie qui le suit depuis ses 15 ans! 20 ans et toujours au même point, c'est désespérant. Soudainement son regard dériva sur le portrait de ses parents accroché dans sa chambre près du lit. Père, mère... je vous promet de ne pas vous décevoir.

    Puis tout à coup, son esprit s'illumina, elle venait d'avoir une idée.

     ***

    Cette fois ci, bien loin du château et quelques heures plus tard, nous retrouvons Adrian et Antonio marcher dans la belle Venise. Deux hommes de 20 ans et noble de surcroît qui revenaient tout juste d'un long voyage. Les deux amis vaquaient à leurs discutions, quand subitement une horde de femmes et d'hommes leurs tombèrent dessus!

    -Les amis! Clama Antonio tout heureux.

    Il s'agissait là de leur groupe avec qui ils faisaient toute les folies du monde, et pour Adrian particulièrement... la luxure. La plus part des femmes présentes ici avait partagés sa couche. D'ailleurs celles-ci vinrent s'accroupirent près de lui, le regard tout heureux. Tandis que Antonio saluer les hommes de son coté.

    -Bonjours mes amours. Fit Adrian en caressant une à une leur cheveux pour en relever certaines par le menton. Si vous êtes la, le maître aussi je suppose? Les filles hochèrent la tête quand la silhouette d'un homme vêtue exclusivement d'un costume rose et possédant de long cheveux frisé vint face à eux de manière théâtrale.

    -Dimitri! Dirent les garçons d'une même voix, tout souriants.

    -Et c'est moi le maître je présume? Demanda le nouvel arrivant amusé.

    -Qui d'autre? Se sont tes filles après tout! Scanda Adrian en tenant deux d'entre elles par les épaules.

    Le bel homme vêtue de rose explosa de rire avant de dire.

    -Mais non voyons! Elles appartiennent à elles seul! Et font ce qu'elles désires de leurs envies et de leurs corps! Expliqua t'il. C'est si rare de nos jour, à moins d'atterrir dans un bordel! Et encore, la plus part font cela pour gagner leurs vies! Mais avec moi... tu ne trouvera que des filles de noblesse, elles sont si belles, et si tendres, les as-tu toute essayé mon bel amis? Questionna Dimitri.

    -A peux près oui... Mais j'ai besoins de nouveauté! Ton harem ne m'importe plus. Il se dégagea de l'étreinte des filles qui allèrent à la suite vers Antonio, qui pour les saluer, leur baisa la joue une à une. Tu as de la chance tout de même d'avoir toute ces filles à ta disposition. Rajouta Adrian.

    -Oh mais voyons! Pour qui me prends-tu? Ces hommes aussi le son!  Fit-il en désignant la petite troupe masculine près des filles. Tu sais bien que je ne me contente pas que de la gente féminine, j'explore et je me noie dans un plaisir continuel avec l'embarras du choix, je ne m’ennuie jamais! Je découvre sans cesse des choses... si plaisante. Crois moi sur parole! Mais si toi tu veux du changement, je suis la mon petit cœur! Déclara Dimitri en venant saisir le visage d'Adrian qui lui sourit. Tu m'as manqué tout ce temps, toi et Antonio à partir en voyage avec votre famille deux mois entier! Je me suis ennuyer mon petit Adrian... Et toi? T'es tu lassé de moi?

    -Oui. Tu nous as beaucoup manqué mon frère! Lui répondit Adrian. 

    Sa réponse fut accueillit par un sourire avant que Dimitri ne l'enlace fortement. 

    -Antonio! Ne viens-tu pas m'embrasser toi aussi?! 

    Celui qui étais appelé, répondit par un mouvement fluide afin de venir enlacer Dimitri, finalement cette accolade fini en câlin à trois.

    -Ah mes frères! Vous m'avez tous les deux manqué! Dit-il à ses deux amis. Ensemble ils se mirent à marcher, suivit de près par le harem privé de Dimitri, qui finit par se retourner et dire.

    -Aller vous amuser ailleurs s'il vous plais, il faut que je parle seul à seul, à mes amis. 

    Tous s'inclinèrent avant de partir.

    Dimitri n'était pas un noble, mais on ne peux pas dire qu'il était pauvre non plus. Il était une sorte de juste milieux parmi l'échelle sociale, et sa prestance ainsi que son allure surprenante lui offrait le don de ce faire apprécier de tous, surtout des femmes, et des hommes aussi... avec certains penchant.

    -Bien, bien, bien... ENFIN SEUL! Alors j'espérais vraiment que vous seriez de retour dans l'après-midi! Car ce matin, en fin de mâtiné une nouvelle est tombé! Il y a un bal mes amis oui! Et toute la ville est invité! 

    -Un bal? Mais ou sa? Questionna Antonio.

    -Chez la famille Capucine biens sure! Organisé par la divine Fiona! L'idéal pour nous de rencontrer de jolies femmes à courtiser et à aimer.

    Adrian, suite à cela, ria dans ses dents et Dimitri fronça les sourcilles.

    -Je peux savoir ce qu'il y a de drôle? Demanda l'homme en rose.

    -A aimer? L'amour n'est que foutaise. Il n'y a que le plaisir entre les femmes et les hommes, elles sont la pour nous combler, rien d'autre. Déclara le beau jeune homme de manière très sérieuse.

    -Oulala, je ne te permet pas mon Adrian. Je t'aime, tu le sais, mais non grand dieux non,  je ne peux te laisser penser pareille sornette. Les femmes ne sont pas la pour nous combler ou nous plaire, c'est plutôt à nous de tout faire pour cela!

    Antonio sentait que la conversation allait bien vite partir en vrille entre ses deux amis.

    -Toi qui possède un harem tu peux bien parler! Répliqua alors Adrian.

    -Elles sont toutes consentantes! Je n'ai rien forcé ou même imposé! Vois-tu... quelque chose en moi les attires, je n'y peux rien! Mais ce que je fais avec mon petit harem ne regarde que moi et c'est fais dans un consentement mutuelle si tu veux tout savoir. Mais ce n'est pas pour autant que je considère les femmes comme des objets! Grand dieux non! Celui-ci partit vers le bord, ou de l'eau résidait, en tendant les bras, laissant le vent le rafraîchir de sa douce brise. Les femmes, sont comme nous, peut-être même pire que nous, dans le bon comme dans le mauvais! Vicieuse, belle, intelligente, remplit de désir, de chagrin, de joie, d'espoir et de crainte! La femme est un être humain comme nous! Pourquoi aurait-elle était crée pour uniquement nous combler mon brave? Mh? Moi je vois juste un bourreau des cœurs frustré car il s'ennuie!

    -Pas le moins du monde! Je suis juste... lassé, rien n'est plus pareille, je connais la plus par des femmes de cette ville par cœur... j'ai besoin de renouveau! Expliqua Adrian en regardant le ciel parsemer en cette journée de nuage.

    -Étonnant que tu n'es toujours pas eu une ribambelle de bambins illégitimes. Fit Dimitri dans un petit rire. Moi je dis que tu es fatigué, tout simplement mon Adrian, tu grandis intérieurement et tu n'éprouves plus cette envie si prenante avant que tu avais de séduire et de faire plier de plaisir tes conquêtes dans tés bras. 

    -Tu veux parier avec moi peut-être? Renchérit Adrian.

    -Tu perdras à tout les coups mon chou.

    -Les amis calmez vous... Dit-alors Antonio qui fut royalement ignoré.

    -Parfait les paris sont ouverts! Déclara le séducteur aux cheveux d'or.

    -Ajoute Ilona Capucine à la liste de tés conquêtes! Lui exposa Dimitri qui ne put s'empêcher d'afficher un grand sourire. On dit qu'elle n'a pas le cœur à l'amour. Celle-ci à repoussé chacun de ses prétendants on ne sait trop comment, qui plus-ais, il est dit qu'elle est d'une grande beauté.

    -Mais... elle n'as que 16 ans! Fit Adrian avec une horreur certaine, visible sur son visage.

    -Mhh oui et toi tu as 20 ans. 4 ans de différence c'est quoi face... au coup de foudre? Plaisanta t-il. Et puis justement! A 16 ans on a la vie devant sois! Si tu lui brise le cœur, elle pourra s'en remettre assez aisément, crois moi mon amis.

    -Bon les copains vous partez trop loin...

    Antonio fut coupé par un ''Tait toit'' Simultané de ses deux amis. Finalement il décida de se taire ce serais plus simple, ces deux la adoraient jouer. 

    -Très bien. J'accepte.

    Dimitri tangua quelque peut, surpris, il ne pensait pas qu'Adrian allait accepter, lui qui mépriser les gens de rand supérieure au siens. Mais c'est quelques minutes après s'être remis de la surprise que les deux se serrèrent la mains.

    Le pari était lancé.

    Et ce soir, tous iraient au bal.

    Mais personne n'était préparé à ce qui allé suivre.


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